Le Bapteme
Le Bapteme
POUR PRIER
POUR PRIER
POUR PRIER
POUR PRIER
POUR PRIER
POUR PRIER
Ste Thérèse de l'Enfant Jésus (1873-1897)
Il n’aura fallu que 24 ans à Thérèse Martin pour devenir « la plus grande sainte des temps modernes » (Pape Pie X). Elle franchit à l’âge de 15 ans de multiples obstacles pour entrer au Carmel où elle désire prouver son amour au Christ qui l’appelle à donner sa vie pour le monde.
Devenue Thérèse de l’Enfant Jésus, elle choisit de faire une confiance totale au Seigneur et de devenir de plus en plus petite pour s’abandonner à Lui. En 1896, elle découvre le sens profond de sa vocation : « Dans le cœur de l’Église, ma Mère, je serai l’amour » et elle s’offre de plus en plus pour soutenir l’effort des missionnaires.
Pour cela, elle vit jusque dans les petites choses sa « voie de confiance et d’amour » qu’elle voudrait transmettre au monde. C’est ce qui se réalise, après sa mort, avec la publication de « Histoire d’une âme ». Ce livre, où elle raconte sa vie, va conquérir le monde (traduction en plus de 60 langues) : « la petite voie » née de l’évangile est un chemin de sainteté proposé à chacun là où il en est.

©Carmel de Lisieux
A mon ange gardien (extrait des poésies de Thérèse)
Glorieux Gardien de mon âme,
Toi qui brilles dans le beau Ciel
Comme une douce et pure flamme
Près du trône de l'Eternel
Tu descends pour moi sur la terre
Et m'éclairant de ta splendeur
Bel Ange, tu deviens mon Frère,
Mon Ami, mon Consolateur !...
Connaissant ma grande faiblesse
Tu me diriges par la main
Et je te vois avec tendresse
Oter la pierre du chemin
Toujours ta douce voix m'invite
A ne regarder que les Cieux
Plus tu me vois humble et petite
Et plus ton front est radieux.
O toi ! qui traverses l'espace
Plus promptement que les éclairs
Je t'en supplie, vole à ma place
Auprès de ceux qui me sont chers
De ton aile sèche leurs larmes
Chante combien Jésus est bon.
Chante que souffrir a des charmes
Et tout bas, murmure mon nom....
Je veux pendant ma courte vie
Sauver mes frères les pécheurs
O Bel Ange de la Patrie
Donne-moi tes saintes ardeurs
Je n'ai rien que mes sacrifices
Et mon austère pauvreté
Avec tes célestes délices
Offre-les à la Trinité.
A toi le Royaume et la Gloire,
Les Richesses du Roi des rois.
A moi l'humble Hostie du ciboire,
A moi le trésor de la Croix.
Avec la Croix, avec l'Hostie
Avec ton céleste secours
J'attends en paix de l'autre vie
Les joies qui dureront toujours.
A ma chère Soeur Marie-Philomène
souvenir de sa petite fille.
Pour en savoir plus